Première publication 1.10.2015 – Mise à jour 06.01 2024
Avez-vous pensé à vérifier la véracité des diplômes des professeurs, chargés de cours et maîtres de conférences que vous embauchez ?
- Que faire face aux faux diplômes de nos pairs ? Nous avons enquêté sur la validité de prestigieux diplômes américains (dont un Ph.D. jamais obtenu) d’un éminent professeur avec à son actif une longue carrière académique. Ses diplômes étaient faux. Dilemme : une mère dont le fils venait de décéder a remercié la présidence d’une université pour le diplôme de pharmacien de leur fils. Il s’agissait d’un faux. Qu’auriez-vous fait à la place des juristes de cette université ?
- Que faire face à ces faux diplômes de nos étudiants ? S’agissant d’étudiants étrangers, nous nous sommes contentés de ne pas les accepter dans nos programmes. Mais certains demandent à leur consulat ou ambassade de valider la version traduite de leur diplôme. Or cette traduction dument estampillée par l’ambassadeur qui est fournie aux services d’admission de l’établissement auquel postule le candidat est, a priori, validée quant à sa forme (traducteur reconnu comme agréé par l’autorité consulaire, d’où sa traduction « certifiée conforme »), mais pas quant au contenu du diplôme original présenté dans sa langue d’origine.